Mandrill des montagnes

Bête de taille G, non-alignée
Valeur de défense 15 (armure naturelle)
points d'action 76
Vitesse 12 m, escalade 12 m
For
15 (+2)
Dex
18 (+4)
Con
18 (+4)
Int
7 (-2)
Sag
12 (+1)
Cha
7 (-2)
Compétences Athlétisme +5, Perception +4, Discrétion +7
Sens Perception passive 14
Langues
Dangerosité 5 (PX : 1800)
Environnements : Articque/Subarctique, Montagnes

Mandrill des montagnes

Mandrill des montagnes (opens new window)
Seuil de critique: 18
Valeur offensive globale: 17

Capacités

Morsure. Si le Mandrill des montagnes réussit deux attaques de griffes sur un adversaire au cours du même round, il le mort avec sa gueule canine, occasionnant automatiquement 3d6+2 de dégâts, d’autre part la victime est empoignée et subira des dégâts tous les rounds à moins de réussir un test de force DD15 pour se libérer. Le résultat des dégâts est appliqué à l'abdomen.
Discrétion. Dans un environnement enneigé, les Mandrills sont quasiment indétectables. Ils triplent leur bonus de discrétion dans ces conditions.

Actions

Attaques multiples : Le Mandrill des montagnes effectue deux attaques de griffes.

Griffes. Attaque d'arme au corps à corps : +7 pour toucher, allonge 1,50 m, une cible.
Touché : 2d6+2 dégâts perforants.


Haut de près de neuf pieds, il pèse entre huit cent et mille deux cent livres. Il vit dans les très hautes altitudes et s'avère être un prédateur redoutable. Il peut se camoufler facilement grâce à son pelage blanc. Les mâles portent autours du coup un longue crinière grise et blanche et leur gueule canine présente des protubérances de chair d’un bleu très profond.. Ils peuvent chasser en groupe mais préfèrent souvent les embuscades, tapis sous la neige. Ils se saisissent de leur adversaire et l'emmène en hauteur, loin de ses alliés ou compagnons. Il essaie ensuite de l'égorger ou de le jeter dans le vide pour qu'il se fracasse en contrebas. Il accroche ensuite ses prises sur des pentes escarpées inaccessibles pour pouvoir venir le dévorer à loisir.

« Sur notre droite, le bruissement de la neige poudreuse qui s’éparpille laissa apparaitre une créature de grande taille, au moins dix pieds de haut, deux fois la taille d’un homme. Sa tête, qui tenait tout autant du simiesque que du canin, était recouverte d’une sorte de cuir épais bleuté. Leng se demanda ce que cette créature pouvait bien manger, il se sentit dans la peau d’un bouquetin et regretta de ne pas avoir leur agilité pour prendre la fuite. Outre sa taille, la bête était recouverte de long poils blancs qui lui offrait un formidable camouflage dans ces pentes enneigées et sans nul doute une protection contre la rigueur du climat. Elle avait les membres allongés qui se terminaient pas de grandes mains griffues. Ses yeux jaunes fixaient les deux hommes alors que son museau humain l’air. La créature paraissait étonnée de ne pas reconnaitre l’odeur de ses proies habituelles. Elle hochait la tête de gauche à droite lentement. » Mémoires de Yob le Sage