Douaratil DRS
Grashka
Grashka
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Seuil de critique: 22
Valeur offensive globale: 21
Capacités
Morsure sauvage. Si le Grashka réussit deux attaques de griffes sur un adversaire au cours du même round, il le saisit violemment et le mord, infligeant automatiquement 4d6+6 dégâts perforants. La victime est également empoignée et subit 2d6 dégâts supplémentaires à chaque round jusqu’à ce qu’elle réussisse un jet de sauvegarde de Force DD 18 pour se libérer. Les morsures ciblent souvent l’abdomen, déchirant muscles et entrailles.
Rugissement terrifiant. Une fois par combat, le Grashka pousse un hurlement guttural qui résonne dans la montagne. Toutes les créatures dans un rayon de 18 m doivent réussir un jet de sauvegarde de Sagesse DD 17, ou être terrorisée pendant 1d6 rounds.
Camouflage neigeux. Dans un environnement enneigé, le Grashka bénéficie d’un avantage sur tous ses tests de Discrétion et triple son bonus pour se cacher.
Force herculéenne. Le Grashka peut projeter une cible de taille M ou inférieure jusqu’à 6 m après une attaque de griffes réussie.
Actions
Attaques multiples : Le Grashka des montagnes ancien effectue trois attaques de griffes ou deux griffes + une morsure.
Griffes. Attaque d'arme au corps à corps : +11 pour toucher, allonge 2,50 m, une cible.
Touché : 3d6 + 6 dégâts tranchants.
Morsure. Attaque d'arme au corps à corps : +11 pour toucher, allonge 1,50 m, une cible.
Touché : 4d6 + 6 dégâts perforants.
Description
Haut de près de trois mètres, pesant près d’une tonne, le Grashka est une légende vivante des sombres cavernes. Plus ancien, plus rusé et infiniment plus cruel que ses semblables comme le Malak ou le Mandrill des montagnes, il règne sur des territoires entiers, chassant aussi bien le gibier que les aventuriers.
Son pelage sombre et brun, mêlé de plaques de peau cornée, lui permet de se fondre dans l'obscurité comme une ombre meurtrière. Ses mâles arborent de longues crinières aux reflets gris argentés, tandis que leurs museaux cicatrisés portent les traces de combats violents.
Ces créatures ne se contentent pas de tuer. Elles aiment traquer leurs proies, les faire succomber à l’épuisement avant de les achever d’un coup de mâchoire ou en les projetant dans le vide. Les carcasses de leurs victimes sont souvent retrouvées accrochées aux crevasses, suspendues comme des trophées sanglants.
« Il surgit, comme si la caverne elle-même s’était éveillée pour tuer. Ses yeux jaunes luisaient dans l'obscurité, et sa gueule béante révélait des crocs tachés. J’ai compris alors pourquoi aucun chasseur ne revenait de ces explorations : ce n’était pas un animal, c’était un cauchemar qui avait pris corps. »
Mémoires de Yob le Sage